
C'est pas du féminisme, c'est du bon sens
C'est pas du féminisme, c'est du bon sens
Format broché et ebook :
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DESCRIPTION
"On peut plus rien dire." "Les féministes exagèrent." "Le sexisme, c’est fini, non ?"
Tu les as déjà entendues. Peut-être même que tu les as déjà dites. Mais si on prenait deux secondes pour regarder les choses en face, sans grandes théories, sans mots compliqués, juste avec un peu de bon sens ?
Dans ce petit essai accessible et malin, on démonte une à une les idées reçues sur le féminisme - avec des exemples concrets, des chiffres simples, et un ton qui parle à tout le monde.
Pas besoin d’être militante, sociologue ou en colère pour s’y retrouver : ici, on parle d’égalité dans la vie de tous les jours. Pas de leçon de morale. Pas de jargon. Juste des faits. Et un constat évident : le féminisme, ce n’est pas un combat extrême… c’est juste une question de logique.
DETAILS
AVIS DE LECTURE
Dès les premières pages, C’est pas du féminisme, c’est du bon sens se pose comme un livre de chevet pour les exaspéré.es du sexisme ambiant et les personnes curieuses en quête d’arguments. Organisé en chapitres thématiques très accessibles, des clichés sur l’égalité déjà acquise aux résistances face à l’évolution des mentalités, l’ouvrage alterne démonstration rigoureuse et ton volontairement direct, parfois piquant, souvent drôle, mais toujours éclairant. Ce qui frappe d’abord, c’est la clarté pédagogique de Camille de Decker. Loin des théories parfois austères, elle s’appuie sur des cas concrets, des chiffres issus d’études récentes (INSEE, Harvard Business Review, OCDE…) et une parole décomplexée. L’autrice manie une ironie bien dosée pour tourner en ridicule les arguments sexistes les plus persistants : non, les femmes ne « choisissent pas » spontanément les métiers les moins bien payés : et non, le féminisme ne veut pas prendre le pouvoir, il veut le partager.
RÉSUMÉ NUL
Ce n’est pas un manifeste. Ce n’est pas un pavé théorique. C’est juste une suite de chapitres qui répondent aux phrases reloues qu’on entend trop souvent. Spoiler : oui, on peut aimer la pizza, les paillettes et l’égalité.
C’est pas du féminisme, c’est du bon sens. Mais apparemment, il faut encore l’expliquer.